Ces activités s’appuient  sur les interactions entre intervenants et étudiants du Master Droit du Numérique
 qui existent depuis une dizaine d'années, mais aussi sur le Graduate Program Numérique,
  Politique, Droit - majeure Droit depuis 2023-24.
  
Toutefois des travaux plus théoriques (mêlant droit et informatique) sont en cours de développement
 à titre d’exemple, notons la thèse d’Éloi Barbier qui porte sur le raisonnement juridique au prisme des
  algorithmes, fruit d’un co-encadrement entre Noé Wagener (Droit) et Pierre Valarcher et Luc Pellissier. il s’agit
  ici de classifier les programmes informatiques utilisés afin d’automatiser des raisonnements juridiques pour
  mieux les saisir dans leur ensemble en tant qu’objet d’étude. Cette classification permettra d’analyser l’impact
  de ces programmes informatiques sur le système juridique en fonction de leurs caractéristiques. Le but est de
  répondre aux question suivantes : - Les programmes informatiques qui implémentent un raisonnement juridique
  illustrent-ils une nouvelle forme de ’logique juridique’? - Les décisions juridiques prises avec des programmes
  informatiques peuvent-elles toujours être justifiées? - Quel est le rôle de la motivation des décisions juridiques
  prises avec des programmes informatiques?
  
  Ou encore le projet ANR de Luc Pellissier qui porte la modélisation de l'évolution de la cohérence des textes de lois par des méthodes informatico-mathématiques telles que les catégories.